Yes, we can!!
Bonsoir :D
Quel mer veilleux réveil j'ai eu ce matin!
Alors que le chat vient, comme à son habitude, ronronner à mes oreilles, la radio se met en marche. Je somnole et prête attention aux infos du mieux que je peux. Je me suis couché tard. Pourquoi? Ah oui, ça me revient. Je voulais connaître le résultat des éléctions présidentielles américaines. Mais bon, je me suis affalée sur le clic clac avant, et je me suis endormie.
J'entends quelques bribes et je souris. Obama président. Alors ça y est quoi. Ca fait deux ans qu'on entend parler de ces éléctions : entre Hillary Clinton qui voulait se présenter depuis longtemps, Julio Giulliani qui semblait destiné à représenter le camp républicain et l'improbable Mike Huckabee, ce sont finalement Barack Obama et John Mc Cain qui vont s'affronter. Les enjeux sont de taille : redresser l'Amérique de l'après Bush, la sortir du bourbier irakien, améliorer la sécurité sociale.
Il est vrai que ce jour est historique : il s'agit du premier président noir des Etats-Unis. Dans une période de crise et de grande lassitude de Debeulyou, il incarne aux yeux du peuple le renouveau tant espéré.
Du travail en perspective pour ce jeune président qui reste tout de même un être humain, ne l'oublions pas.
Quant est-il de John Mc Cain? Difficile de ne pas prendre un minimum sa défense : vétéran du Viet-Nam, torturé pendant plusieurs années, il avait à mes yeux ce recul qu'offre l'âge et l'expérience, vous savez ce regard qui se pose plus loin que nous. Et puis il avait beaucoup de choses à porter en même temps : représenter un parti au bilan catastrophique, se distinguer d'un président calamiteux tout en préservant l'unité des républicains...Bref, il n'avait pas les meilleures cartes en main. Alors, bien que j'affiche ma préference pour l' ancien candidat démocrate, il faut reconnaître que John Mc Cain est moins pire que Bush, même si a priori cela ne semble pas bien difficile.
Il y avait peut être de la magie dans Mc Cain (sic), mais il y avait surement de l'espoir chez Obama :)
Et puis, il reste le marché de la frite...
Quel mer veilleux réveil j'ai eu ce matin!
Alors que le chat vient, comme à son habitude, ronronner à mes oreilles, la radio se met en marche. Je somnole et prête attention aux infos du mieux que je peux. Je me suis couché tard. Pourquoi? Ah oui, ça me revient. Je voulais connaître le résultat des éléctions présidentielles américaines. Mais bon, je me suis affalée sur le clic clac avant, et je me suis endormie.
J'entends quelques bribes et je souris. Obama président. Alors ça y est quoi. Ca fait deux ans qu'on entend parler de ces éléctions : entre Hillary Clinton qui voulait se présenter depuis longtemps, Julio Giulliani qui semblait destiné à représenter le camp républicain et l'improbable Mike Huckabee, ce sont finalement Barack Obama et John Mc Cain qui vont s'affronter. Les enjeux sont de taille : redresser l'Amérique de l'après Bush, la sortir du bourbier irakien, améliorer la sécurité sociale.
Il est vrai que ce jour est historique : il s'agit du premier président noir des Etats-Unis. Dans une période de crise et de grande lassitude de Debeulyou, il incarne aux yeux du peuple le renouveau tant espéré.
Du travail en perspective pour ce jeune président qui reste tout de même un être humain, ne l'oublions pas.
Quant est-il de John Mc Cain? Difficile de ne pas prendre un minimum sa défense : vétéran du Viet-Nam, torturé pendant plusieurs années, il avait à mes yeux ce recul qu'offre l'âge et l'expérience, vous savez ce regard qui se pose plus loin que nous. Et puis il avait beaucoup de choses à porter en même temps : représenter un parti au bilan catastrophique, se distinguer d'un président calamiteux tout en préservant l'unité des républicains...Bref, il n'avait pas les meilleures cartes en main. Alors, bien que j'affiche ma préference pour l' ancien candidat démocrate, il faut reconnaître que John Mc Cain est moins pire que Bush, même si a priori cela ne semble pas bien difficile.
Il y avait peut être de la magie dans Mc Cain (sic), mais il y avait surement de l'espoir chez Obama :)
Et puis, il reste le marché de la frite...